Tout a commencé par une formation agricole un IUT, l'Agriculture Biologique était encore bien marginal en 2000. Seules des opportunités dans le conseil ou le commerce dans l'agriculture conventionnelle existaient. Après 3 ans dans ce domaine, j'ai voulu découvrir d'autres chemins. 

J'ai crée un projet de bar sportif (jorkyball) avec l'envie d'initier les gens à un nouveau sport en passant de bons moments et en prenant soin du corps ! C'était déjà mes centres d'intérêt (nouveauté, convialité, santé) ! Ensuite, j'ai voulu découvrir le monde du chantier écologique. Surtout attiré par les contructions dites écologiques (ossature bois, isolation paille, bioclimatique), j'ai pratiqué la menuiserie pendant 6 ans.

Aujourd'hui, je souhaite mettre en synergie toutes ces expériences acquises dans la micro-ferme en agriculture biologique sur 3 hectares, en activité maraîchage depuis 1 an, la bio pep's. Je préfère me définir comme jardinier : j'expérimente les associations légumières et la gestion des plantes, compagnes spontanées qui ont l'avantage d'apporter beaucoup de vie sauvage dans la faune et d'améliorer l'alimentation de la vie de mon sol ! Cela complique certes les semis, les récoltes, d'où la valeur de mes légumes pour leurs qualités gustatives et environnementales (rapport calorie produit/calorie consommée) !

Mes cultures de tomates et carottes "sauvages".

     

Je me prépare et me forme à ce projet depuis 4 ans (formation sur le terrain, en ligne, des livres et encore de livres). Mon projet se veut local, global et circulaire... Cela doit parler à beaucoup maintenant ! Cette vision se retrouve dans le nom la bio pep's :

• bio comme agriculture biologique, biodynamie ;
• p comme permaculture, partipatif, partage ;
• e comme experimental, écologique, énergétique ;
• p comme positif (alimentaire, bâtiment, énergie) ;
• s comme science, social, secteur.

Le projet dans son intégralité a 1 hectare de maraîchage en agroforesterie, 1 hectare de forêt et de vergers et 5 000 m² de plantes médicinales.

Pour ce beau projet, j'apporte personnellement 50 000€, les banques me suivent que pour le financement du foncier, car pour le reste leurs critères (mais qui ne sont pas les vôtres je pense) s'opposent à la faible rentabilité du maraîchage et le vin à base de rhubarbe ne semble pas avoir de potentiel selon elles et ce marché leur semble méconnu. Mais on peut financer quelque chose de nouveau ou d'avenir, par ses propres moyens et aussi grâce à vous !

Vous ressentez comme moi l'intérêt d'un lieu où la biodiversité peux s'exprimer, d'un vin naturel et médicinal ? La curiosité de goûter le vin de rhubarbe (l'écologie n'empêche pas l'évolution, la nouveauté, le progrès, la convivialité, la solidarité, bien au contraire !! ) ? 

Permettez-moi de vous faire vivre de nouvelles choses ! Grâce à vous, à vos encouragements, et grâce à vos dons !! Cet argent qui a du sens permettra de donner vie à ces nectars !!!

 

Je souhaite développer ma 2nde activité, la création d'un chai pour l'élaboration du vin de rhubarbe et d'un vin apéritif médicinal (avec l'eau de vie qui stoppe la fermentation et les plantes médicinales macérées permettant une meilleure extraction des molécules actives).

Le vin naturel est réalisé en plusieurs étapes :

• La récolte des cannes se fera les deux premières années chez un collègue pépiniériste en rhubarbe, le temps que ma propre rhubarbe soit enfin grande !
• Le hachage va faciliter l’extraction du jus. (Valeur de 800€)
• Le pressage hydraulique permet l’extraction du jus des cannes de rhubarbe hachées. (Valeur de 1 200€)
• La préparation du moût : cette étape est cruciale. Nous allons assembler le jus dilué avec de l’eau dynamisée (ce qui va garantir la vitalité du vin) afin de mettre la fermentation en place. (Besoin d’une cuve de brassage de valeur de 500€)
• La fermentation, l’étape ou le vin va prendre vie. A cette étape, 2 possibilités s'offrent à nous : soit nous stoppons la fermentation et donnons naissance au vin naturel ou nous continuons l'évolution du produit vers le vin apéritif  par ajout  d'eau de vie infusé avec le safran, romarin et la vanille par exemple pour des effets bénefique pour la mémoire. Pour cette étape, nous aurons besoin de 8 cuves de fermentation, phase la plus longue de 4 à 8 mois suivant les recettes. (Valeur de 5 000€)
• La mise en bouteilles : le moment tant attendu où nous pouvons commencer la dégustation et la réalisation des bouteilles, nous avons besoin d’une remplisseuse embouteilleuse, bouchonneuse, étiqueteuse. Pour rester sur des coûts raisonnables. Nous serons sur des petites séries, ce matériel sera principalement manuel ! (Valeur de 2 500€)

Nous réaliserons toutes ces étapes dans un chai contruit avec une isolation paille permettant la stabilité des températures (indispensable pour un bonne fermentation), un coût maitrisé par l’auto-construction, le respect environnemental des matières employées à faible énergie grise. (Valeur de 17 000€).

Ainsi, en suivant l'ordre des postes de dépense ci-dessus, la collecte s'effectuera en plusieurs paliers :

• Un 1er palier à 2 500€ pour financer le hachage, la presse hydraulique et la préparation du moût ;
• Un 2nd palier à 7 500€ pour financer les 8 cuves de fermentation ;
• Un 3ème et dernier palier à 10 000€ pour financer les équipements nécessaires à la mise en bouteille.

Ainsi nous aurons un vin apéritif naturel sans aucun sulfite, orienté soit pour la régénération du foie (à base de chardon de marie, curcuma et cannelle) ou régénération du système cognitif (à base de réglisse, romarin, safran) ou détoxification du système sanguin (à base de betterave, baie de goji, gingembre) !

 

L'idée du lieu est d'utiliser un maximum de matériel de réemploi ou du terrain comme par exemple une serre en verre sauvée de la destruction, démontée par mes soins qui servira à la structure du bâtiment pour le chai avec l'isolation paille et l'argile fournie par le sol du terrain permettra aussi l'instauration d'un petit étang servant à l'irrigation naturelle des plantes et l'augmentation de la biodiversité de la faune et végétale (plantes aquatiques) du lieu et l'abreuvement pour les oiseaux !

De toute cette philosophie du respect, d'amélioration du lieu, d'utilisation de matières locales et de réemploi pour le chai, l'utilisation des plantes du terrain en grande partie, la volonté de réaliser un produit le plus sain possible découle le besoin de financement participatif ! De toutes ces actions positives vont ressortir des saveurs, de la qualité et de la convivialité de notre gamme de vins et apéritifs. Ces produits en sortiront que grandis, cela grâce à vous qui aurez permis la naissance de ces produits bienfaisants et d'exception !

Pour ceux qui souhaitent m'envoyer directement leur dons par chèque ou en espèces, voici mon adresse : 

Fabrice Barbot

26 Rue Elisée Reclus,

49 800 Trélazé

Merci pour votre attention, en espérant que cela vous a appris ou apporté quelque chose ! Merci !