Passionnée depuis de nombreuses années par la fabrication des cosmétiques végétaux et biologiques, j'ai sauté le pas en 2011 en mettant de côté mon travail de professeur des écoles pour me former en agriculture biologique.
Dans cette formation j'ai appris à cultiver les plantes qui rentreront dans la composition de ma gamme de cosmétiques naturels.

Ainsi, en 2015 je me suis installée en tant qu'agricultrice en plus de mon activité de professeur des écoles à mi-temps.

 

Je cultive une bonne vingtaine de plantes, dont quatre variétés de rosiers anciens, sur 50 ares et cueille aussi dans la Vallée de la Loue et sur les coteaux environnants (genévrier, reine des prés, millepertuis...).

 

Depuis, je produis des hydrolats, des huiles essentielles et des macérats huileux que je commercialise localement sur les marchés et dans certains magasins bios.

 

Gardant bien en tête mon projet initial de développer ma gamme de cosmétiques, j'ai continué à me former sur l'aspect réglementaire des cosmétiques, qui est très exigeant (les exigences réglementaires sont les mêmes que l'on soit une multinationale ou une toute petite entreprise agricole).

Je souhaite développer une gamme d'une dizaine de produits allant du baume visage pour la nuit, en passant par le déodorant, le dentifrice, la crème pour les mains, l'huile de soin pour les cheveux, la mousse à raser...

Mes produits respecteront la charte Nature et Progrès qui garantit un excellent niveau environnemental et social.
Pour mettre sur le marché mes produits cosmétiques, de nouveaux investissements sont nécessaires.

 

La collecte va servir à améliorer la traçabilité et la qualité de mes matières premières afin de respecter la réglementation et à rédiger mes dossiers réglementaires indispensables à la mise sur le marché des produits cosmétiques.

Je vais donc investir dans un système de pompe à filtre  (400 €) pour mes hydrolats et mes macérats huileux, permettant une filtration suffisamment fine pour assurer une bonne stérilisation et améliorer la conservation.

Je souhaite aussi améliorer le stockage de mes produits en investissant dans de grandes cuves inox dans lesquelles je prélèverai au fur et à mesure sans avoir à les ouvrir.

 

Ma gamme d'hydrolats et de macérats huileux étant assez large il me faudra 45 fûts inox et deux étagères spécifiques "charge  lourde" pour les stocker dans mon labo (fûts de 50 à 90€ pièce (2 700€ en tout), étagères (600€)).

A ces investissements matériels, viennent s'ajouter ceux liés aux analyses de mes matières premières à effectuer par des laboratoires spécialisés :

Chacune de mes huiles essentielles devra être chromatographiée afin d'en connaître exactement le profil chimique. Cela me permettra de mettre en évidence les éventuels allergènes (mentions obligatoires dans les dossiers réglementaires cosmétiques), et je pourrai les commercialiser localemenent dans les pharmacies. Je devrai aussi faire réaliser des flores (analyse permettant de mesurer la contamination bactérienne) sur mes macérats huileux.

Total des analyses : 1 500€

Enfin, afin de valider chacune de mes formules cosmétiques, je fais appel à une pharmacienne spécialisée que je devrai rémunérer (1 800€).

Total des investissements : 7 000€

Je ne vous sollicite pas pour la totalité des investissements, mais votre générosité déterminera la part des investissements qui sera financée via mon établissement bancaire, part que j'espère minimale !

Si vous souhaitez me soutenir sans passer par internet, vous pouvez m'adresser vos dons par courrier à l'adresse suivante :

Armelle Chauveau

13 rue du stade

25290 ORNANS

Je me chargerai de reporter vos contributions sur MiiMOSA pour que vous puissiez profiter des contreparties associées.

N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions sur le projet.

Par téléphone auprès d'Armelle : 06 23 03 28 90

ou par e-mail : lesoinjardine@gmail.com

Je vous remercie et à très bientôt !