Je suis Rachel. Il y a quatre ans, avec ma tribu, nous nous sommes installés dans un village entre Nantes et St Nazaire. Nous avions un projet déjà un peu fou : celui d'auto-construire (en partie) une chouette maison : bois, terre crue, paille, lumière et jardin. Un chantier sain et joyeux, plein de coups de main. (Merci la famille, merci les copains !)

J'avais travaillé pour des festivals de théâtre et depuis dix ans, j'étais directrice de centre de loisirs pour une association. Je me formais à la coordination de projet de territoire. 

Sur la table du petit déjeuner, à la maison comme sur celle du goûter au centre de loisirs, la préoccupation du "bien manger" était présente. Et le pain "à l'ancienne" aussi ! J'ai alors rencontré les boulangers-ères et leurs fours à bois.

Ma reconversion comme artisane boulangère était là : 

Les odeurs à la sortie du four, le pain fédérateur  (autour duquel les gens se retrouvent), le plaisir gustatif et sain, la magie de la transformation, les douces textures des pâtes...

PUIS IL Y AVAIT LES IDÉES :

- Monter un projet simple et à petite échelle,

- Travailler dans une dynamique locale,

- Valoriser une consommation éclairée (où l'on sait ce que l'on mange, comment cela a été produit et qui est le producteur),

- Mettre en exergue des matières nobles (produits biologiques et locaux),

- Dans la conscience du "temps qu'il faut",

- Tout en m'inscrivant dans le respect des vivants (l'environnement naturel, les rencontres, la fermentation, moi-même !)...

J'ai appris à faire du pain dans des fournils en France pendant presque 2 ans auprès de boulangers-ères qui avaient à cœur de partager leurs savoirs ! En parallèle, j'ai passé et obtenu un CAP de boulangerie en 2022, sésame pour pouvoir vendre du pain.  Puis j'ai affiné le projet de micro fournil : Pan Dousik. 

PAN DOUSIK, un nom hybride à l'image de mes origines : pan voulant dire "pain" en espagnol et dousik signifiant "tranquille" en breton. 

Oui, mais pourquoi dousik ? Parce que j'utilise une méthode artisanale sans pétrissage mécanique et qui laisse du temps à la pâte pour pousser...

Dans un local attenant à la maison (le fournil),  je boulangerai deux à trois fois par semaine. Je fabriquerai de manière artisanale du pain « à l’ancienne » et le vendrai sur commande et en direct.

 Et cela, dès septembre !

UNE GAMME COURTE DE PAINS ET DE BRIOCHES : 

Pain de froment (type tradition), pain semi-complet (type campagne), pain aux graines, pain aux fruits, Engrain (pain complet au petit épeautre - pauvre en gluten et avec un bas indice glycémique), brioches, pains éphémères.

DE BELLES MATIÈRES PREMIÈRES:

* du pain tout bio au levain naturel,
* des farines brutes (sans additifs ni adjuvants),
* des farines locales, écrasées sur meules de pierre,
* du sel de Guérande (éco-garantie),
* de l'eau filtrée.

UN PROCÉDÉ DE FABRICATION "DOUSIK"

* de long temps de fermentation (à température ambiante),
* un pétrissage et façonnage sans machines (tout à la main !),
* une cuisson dans un four qui fonctionne au bois.

UNE BOULANGERIE AVEC LAQUELLE VOUS POUVEZ CONSOMMER AUTREMENT!

* de la vente en direct : au fournil, sur les marchés et dans les restaurants scolaires,
* du pain pré-commandé (afin d'éviter le gaspillage alimentaire),
* du pain qui se conserve plusieurs jours !

UN FOURNIL QUI RESPECTE L'ESPACE DES VIVANTS

* des pratiques de développement durable (circuit court : vente en direct et approvisionnement local, des matières premières bios...)
* gestion rigoureuse des déchets,
* peu de mécanisation dans la pratique boulangère, 
* un four alimenté au bois et à faible consommation...

Nous allons investir 30 000€ pour fabriquer le bâtiment qui accueillera le fournil. Il sera en bois et le toit sera végétal. 

J'ai déjà acquis un four. Évidemment, il n'est pas encore installé. 

Il attend son écrin :  le fournil. Mais pour vous donner une idée : voilà à quoi il ressemblera.

La collecte va servir à aménager et équiper l'intérieur du fournil :

Premier palier : 2 000€

Meubles en bois fabriqués "maison" : 1 500€,

Meuble de boulangerie: le parisien : 500€.

Deuxième palier : 4 000€

Si le premier palier est atteint et qu'il est dépassé, je pourrais m'équiper en petit matériel (moules, bannetons...) : 2 000€

Troisième palier : 5 000€

Waouh ! Si nous dépassons le deuxième palier, je pourrais investir dans un petit batteur à 1 000€ et vous préparer des supers brioches !

SUIVRE LE PROJET ET CONTRIBUER

Vous êtes intéressés par le projet Pan Dousik et souhaitez le suivre ?

Grâce à MIIMOSA j'aurai votre contact et je vous enverrai des nouvelles.

Et en attendant la création du site internet, vous pouvez déjà me trouver sur la toile via facebook. 

Vous souhaitez soutenir le projet Pan Dousik?  Vous pouvez contribuer soit via la plateforme MIIMOSA, soit en m'envoyant un chèque à l'adresse suivante : 

Rachel Hénon, 

19 La Benoistais, 44130 Bouvron. 

Je vous laisse découvrir les contreparties...

Vous habitez loin et vous n'avez pas la possibilité de passer au fournil? Faites don de vos contreparties à une personne de votre choix qui habite près de Pan Dousik!

Je vous envoie MILLE mercis !